Moches et obèses elles y ont droit quand même

Dans cette famille ronde, mère et nana majeure, s'adonnent toutes les pines qui franchissent leur espace vital. Cette fois c'est Réal, le brave mecs qui se fait offrir de partager la tarte au gras… L'action commence dès qu'il a jeté le pantalon. Les deux gloutonnes empoignent le chibre du vicelard et le lèchent jusqu'à la moelle avant de l'agiter frénétiquement entre leurs gigantesques lolos. Notre luron est au ciel, littéralement couvert de sueur, de bave et de mouille. C'est une party pour les mains, il y a toujours une une bouche ou un sein à portée des doigts. Les orifices par contre demandent plus d'application. Bien enfouis au fond de leur caverne de peau, les fentes sont sous la protection rapprochée des fesses voluptueuses ou alors à l'ombre d'un repli ventral de bonne guerre. Quand enfin il atteint le sanctuaire de la gourmande, la mère s'acharne sur ses zones érogènes pour faire monter les sensations de l'épiderme vers le système nerveux et éveiller le désir qui agite les muscles de son large orifice. Ainsi stimulé, l'intérieur du minou d'Émilie roule comme un grondement d'orage et procure à l'homme une masturbation sans qu'il bouge les hanches. La nana vient vite et s'empresse de céder la place à sa copine plus âgée qui souffle comme un buffle et dégouline maintenant de désir. Le tableau est à la fois grotesque et touchant, on réalise ainsi comment la nature peut reconquérir ses droits en toutes circonstances.

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VENDREDI 4 SEPTEMBRE 2009

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