C'est sur le parquet de la salle d'art dramatique que les deux élèves vont s'appliquer à des pratiques douteuses. Elles sont vêtues de tissus fins et flash qui donnent expressément le ton à la pièce. Une langue vicieuse sonne le départ, l'autre répond aussitôt ! Encore un peu embarrassées, elles se sucent passionnément et mutuellement les mains par de accrocheuses trainées de langues. Puis, vite les langues joueuses parcourent les corps entiers, glissant autour des aréoles durcies par l'envie et entre les fentes douces et humides qu'elles se proposent généreusement. Un double sextoy se retrouve entre les mains de ces sales vicelardes et bientôt entre leur douces jambes. Mais le jeu devient plus dur avec l'arrivée du maitre et celui-ci à l'intention de les châtier et sera impitoyable avec elles. Le vieil endiablé ne pourra s'empêcher de claquer de ses mains cette paires de fesses rebondies. Et pourquoi ne pas les équiper d'un sextoy museau ? Les garces, prises au jeu, ont déjà presque oublié le professeur et s'adonnent à ces pratiques sado-maso comme si personne ne les épiait. Ce sont de vraies vicelardes délurées ! Comment se retenir de sortir son chibre d'acier, sinon déchirer son pantalon ? Le maitre d'art n'est pas prêt à craquer son pantalon et préfère déverser une décharge de sperme abondante sur les obus raffermis d'une des deux impropres !
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VENDREDI 2 OCTOBRE 2009
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